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le gac jean

Né en 196

Biographie

 

L’œuvre de Jean Le Gac se veut paradoxalement une métaphore du peintre tout en adoptant pour matériaux artistiques la photographie, le texte, le film, le dessin au pastel copié des images de littérature populaire, ou des objets (caméra, projecteur, etc.).

Jean Le Gac manifeste très vite une grande précocité dans l’art du dessin. À la faveur d’une bourse d’état, il part à Paris et obtient en 1958 un diplôme de professeur de dessin et d’art plastiques. Après avoir enseigné dans le Nord de la France, il revient à Paris en 1968 pour y tenter quelques expositions. Finalement, en dépit de l’évidence de son talent, il renonce à sa vocation de peintre et déclare même abandonner l’idée de devenir artiste. Avec Christian Boltanski, il réalise à cette période un certain nombre d’interventions (promenades ou envois postaux, par exemple), comme autant de gestes simples et anonymes lui permettant de médiatiser son travail. Ces expériences artistiques sont alors consignées dans ses Cahiers, réalisés entre 1968 et 1971, où il mêle aux photographies des textes manuscrits d’un récit aux accents biographiques. En 1972, Harald Szeemann décide d’exposer les vingt-six carnets qui constituent ce travail lors de la documenta 5, dans le cadre des Mythologies individuelles (avec Boltanski notamment).


Jean Le Gac est désormais associé au courant du Narrative Art, qui regroupe des artistes comme John Baldessari, Jochen Gerz, Peter Hutchinson, Annette Messager ou encore William Wegman, et qui, en marge de l'art conceptuel, combine photographie et texte pour un retour à la narration.
Jean Le Gac puise dans la vie quotidienne et dans la banalité de l’objet la matière de son œuvre. C’est à cette même période qu’il ouvre un autre chapitre, décisif, de sa démarche : le Peintre. Son renoncement à la peinture constitue désormais le principal propos de son travail (et jusqu’à aujourd’hui), celui de l’élaboration de la vie d’un peintre, double de lui-même. Empruntant autant au feuilleton policier qu’au roman-photo, Jean Le Gac donne vie à cet artiste sans œuvre (allant jusqu’à recopier les couvertures de livres de son enfance dans Le Délassement du Peintre, en 1978) par les moyens d’une autofiction sur un registre tragi-comique. Les différentes étapes de ce travail ont été notamment exposées au Musée national d'Art Moderne-Centre Georges Pompidou en 1978 et à l’ARC, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris en 1984.

Plus tard, il a présenté les expositions personnelles Fifty-Fictif en 1999 au Musée Nicéphore-Niepce à Chalon-sur-Saône ; La poursuite en 2005 à la Galerie Art & Essai de Rennes ; Choses peintes-photographiées-écrites en 2016 au centre d’art ACentMetresduCentreduMonde à Perpignan.
Jean Le Gac est lauréat 2010 de la Fondation Simone et Cino del Duca dans la catégorie peinture.

En 2015, il installe L’atelier parallèle au Musée de Carouge, près de Genève, en imaginant un double de son atelier-appartement parisien, projet qui donne lieu à un entretien approfondi avec l’artiste.

 

 

 

 

A . B . C . D . E . F . G . H . I . J . K . L . M . N . O . P . Q . R . S . T . U . V . W . X . Y . Z

 

oeuvre

Portrait de Descartes, 2020
Sérigraphie [0x40 cm]
Cote : 1268 GAC

en savoir plus

Dans le cabaret parisien Shéhérazade, Thierry ARDISSON s'entretient avec le peintre Jean LE GAC pour évoquer sa carrière. Ils reviennent sur son goût pour le dessin dès l'enfance, évoquent son ressenti visionnaire, son art, son concept du "peintre français", la technique de la pastel, sa collection de livres populaires, Daniel TEMPLON son galeriste... Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel

 
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